Quelques armes pour lutter contre la tristesse


Quels que soient le milieu social et l’origine géographique de l’individu, il est toujours affecté par des dispositions psychologiques qui semblent être inhérentes à l’état d’être humain.

Certains sentiments paraissent inévitables, s’invitant dans notre quotidien sans crier gare et tendent à nous freiner dans notre évolution personnelle.

C’est bien évidemment le cas de la tristesse.

Issu d’indénombrables facteurs, cet état d’esprit amène l’individu à douter de lui, à s’enfermer dans un cocon de morosité, de solitude et de douleur.

Objectivité, motivation, aisance sociale… ne sont alors que quelques-unes des constructions de l’individu qui semblent se désagréger au contact de la tristesse.

Elle est un poids, un fardeau stimulant l’impression d’impuissance et de tourner en rond.

Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si elle fait figure de symptôme principal lors du diagnostic d’une dépression.

Et si toute personne peut clairement définir à titre personnel l’impact de la tristesse sur sa psychologie et son bien-être, il semble encore difficile de se départir d’un ressenti pourtant destructeur.

Elle est comme lancinante, nous accompagne parfois pendant des périodes extrêmement longues.

Des phénomènes comme un décès, une rupture amoureuse ou un licenciement sont par exemple connus pour engendrer d’incommensurables maux personnels pouvant faire basculer une vie.

Mais bien loin d’être imputable à l’individu la supportant, la tristesse est légitime, compréhensible et souvent facteur d’empathie.

Elle est même à l’origine, en y réfléchissant, de l’euphorie qu’on peut ressentir lors de situations marquées par la réussite (obtention d’un diplôme, mariage, sélection après un entretien d’embauche…).

Quand on a connu la difficulté, en n’en apprécie que plus le succès.

Tout cela pour dire que vivre sans tristesse est une utopie.

L’homme est soumis à des évolutions émotionnelles dépendantes de son environnement et de sa perception, il ne peut donc renier ses ressentis.

Cependant, on peut s’interroger sur les solutions existantes pour limiter le pouvoir de la tristesse, afin qu’elle ne nous écarte plus de la voie de la réalisation de nos objectifs et de notre épanouissement personnel.

1. Identification et acceptation, les premiers pas pour surmonter la tristesse

La tristesse n’étant pas par définition un sentiment que l’on peut aisément ignorer, il convient lorsqu’elle semble prendre le dessus, de ne pas la renier ou la minimiser.

Bien sûr, il nous sera impossible de la laisser transfigurer de manière trop visible notre comportement lors des interactions du quotidien (notamment sur notre lieu de travail), mais cela ne nous empêchera pas de la ressentir continuellement.

C’est dans les moments de solitude qu’elle s’exprime dans son entièreté provoquant larmes, vertiges et quasi-paralysies.

Ces moments où tout semble s’écrouler et où l’individu se renferme sur lui-même peuvent en réalité être utilisés à bon escient, pour vaincre la tristesse.

Comme chacun sait, la tristesse entraîne bien souvent tout un flot de pensées, et bien qu’elles soient noires et mélancoliques, elles peuvent permettre de mettre des mots sur la douleur endurée.

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Il faudra pour cela faire face à son ressenti et tenter de relativiser autant que possible les émotions les plus puissantes (par écrit pourquoi pas, ou en se confiant à des proches voire à un professionnel) afin de leur refuser le droit de nous dominer complètement.

L’identification de la tristesse (et de ses causes matérielles) sous-tend l’idée d’acceptation de la peine plutôt que celle de fuite face à un tel obstacle.

Elle dessine donc les contours d’une implication personnelle, d’une véritable volonté de s’en sortir.

Ce qui comme vous le savez, n’est pas nécessairement un réflexe naturel.

Certains se laissent submerger par la tristesse, se complaisant dans un état végétatif presque inconscient.

Comme le disait Flaubert dans une lettre à Maupassant, « prenez garde à la tristesse, c’est un vice ».

L’acceptation de la tristesse peut être renforcée par la mise en place d’une routine particulière vous permettant de la cloisonner, de l’emprisonner entre quatre murs, qui finiront par se resserrer pour finalement réduire à son strict minimum la notion de désespoir.

Concrètement, vous pourrez chaque jour vous accorder un moment délimité dans le temps pour vous laisser aller à votre douleur.

Commencez pourquoi pas par une demi-heure par jour, en début ou fin de journée.

Au lieu de laisser la tristesse vous affecter tout au long de la journée, expulsez-la en vous autorisant à ne penser qu’à cela.

Une fois le délai écoulé, prévoyez une tâche matérielle intéressante à accomplir pour être certain de limiter le vague à l’âme et de vous focaliser sur quelque chose de concret.

Au fur et à mesure de ces séances d’extériorisation, vous réduirez le laps de temps que vous vous accordez, comme pour exprimer votre refus de voir la tristesse gagner du terrain.

Une méthode relativement simple qui peut vous permettre de canaliser la négativité ambiante diffusée par la tristesse.

2. Vaincre la tristesse grâce à la mise en action

L’individu étant en perpétuel besoin d’évolution, il ne peut à long terme laisser la tristesse le faire stagner, l’empêcher de profiter des opportunités qui se présentent à lui et se refuser le droit à l’expérience.

Si c’est pourtant ce que l’on peut avoir l’impression de vivre, cette illusion à la peau dure peut être remise en cause par un focus personnel sincère et accepté en tant qu’objectif prioritaire.

Ainsi, les moments les plus sombres de notre existence sont aussi de formidables tremplins vers un changement radical et une expression tangible de notre potentiel.

La tristesse a cela de bien qu’elle nous confronte à nos limites et nos faiblesses. L’ennemi étant visible, il devient atteignable.

Aussi difficile que cela puisse être, les moments de détresse doivent nous permettre de porter toute notre attention sur notre besoin de développement personnel.

Pourquoi alors ne pas se lancer dans la réalisation de projets pouvant améliorer notre quotidien ?

Pourquoi ne pas débuter une nouvelle formation, chercher de nouvelles sources d’intérêt (nouveaux loisirs, nouvelles musiques, nouveaux endroits où sortir, nouveaux voyages…), (re)commencer à faire du sport, lancer un blog ou encore se refaire une garde-robe ?

Certaines décisions permettent de relativiser la tristesse en ce qu’elles marquent une cassure entre le passé et l’expression du renouveau.

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Et comme vous le savez sans doute, des changements matériels chez l’individu entraînent souvent une évolution d’ordre psychologique.

Alors certes, motivation et envie à proprement parler de découvrir de nouvelles sources de satisfaction ne seront certainement pas naturellement présentes au début du processus, mais il est clair que nous avons là une clé déterminante pour véritablement laisser la tristesse derrière nous et continuer notre chemin.

3. La tristesse fait-elle le poids face au pouvoir du relationnel ?

Impossible d’aborder un tel sujet sans parler du soulagement que peut apporter l’entourage d’un individu au moment d’affronter des situations provoquant doutes et remises en cause.

Et si personne n’est capable de comprendre la tristesse d’autrui dans sa globalité, pouvoir se confier est toujours d’un grand secours.

L’interaction stimule la spontanéité, le dynamisme et l’empathie.

Il est donc certain qu’une personne bien entourée trouvera une aide précieuse en sondant ses amis ou sa famille.

Le dialogue étant une solution concrète recommandée dans bien des situations conflictuelles ou néfastes, une personne triste a tout intérêt à partager son ressenti et à ne pas le garder enfoui en elle.

Cela risquerait de créer des plaies qui ne cicatriseraient jamais vraiment.

L’ouverture d’esprit et le partage comptent parmi les premières nécessités en vue d’une amélioration psychologique, c’est incontestable.

C’est d’ailleurs la raison qui me pousse à vous inciter à réagir à cet article, via les commentaires si vous le souhaitez.

Le refus de la tristesse commence par là !

Vous le comprenez, le sujet est vaste et difficile.

La tristesse est un sentiment à la fois puissant et inévitable, mais nous avons la capacité d’y faire face, à condition de vraiment s’en donner les moyens.

Et puis dans le cas où le tunnel paraîtrait trop long, il nous reste toujours la possibilité d’en visualiser la sortie dans notre esprit et de la garder en ligne de mire.

La détermination elle aussi est une clé qui fait sauter bien des serrures…

Quoi qu’il en soit, je vous laisse méditer sur les possibilités qui vous sont offertes pour effectivement battre en brèche toute idée de tristesse excessive.

Bon courage et à bientôt !

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